mercredi 14 mars 2007

JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME avec le personnel féminin de la gendarmerie





Petit déjeuner offert à tout le personnel féminin de la gendarmerie par le Colonel Jean-Yves ORTEGA - Commandant la Gendarmerie pour la Polynésie française. - Terrasse du camps de FAA'A
"Objectif de la gendarmerie : une femme dans chaque unité"
Tahitipresse - Société : 08/03/2007 à 15:24

dimanche 11 mars 2007

Jardins de la Mairie de PIRAE


Journée organisée par le Ministère de la solidarité du logement et de la famille. 8 mars 2007
Béatrice VERNAUDON avec Madeleine BREMOND, ministre de la solidarité du logement et de la famille et quelques responsables de la journée du 8 Mars à Pirae


mercredi 7 mars 2007

JEUDI 8 MARS 2007 - AGENDA

Agenda de Béatrice VERNAUDON-COPPENRATH
8H30 - Petit déjeuner offert à tout le personnel féminin de la gendarmerie par le Colonel Jean-Yves ORTEGA - Commandant la Gendarmerie pour la Polynésie française. - Terrasse du camps de FAA'A

9H30 - Jardins de la Mairie de PIRAE - Journée organisée par le Ministère de la solidarité du logement et de la famille.
10H05 - Présentation de Taiarapu Est : "La femme, l'environnement du couple et le partage des rôles"
10H35 - présentation de Taiarapu Ouest : "La femme, la famille et la religion"
11H00 - présentation de Moorea - Maiao : "La femme, la pauvreté et le travail"
11H30 - présentation de Teva I Uta et Papara : "La femme, l'éducation et les responsabilités parentales"
13H05 - présentation de Arue et Mahina : "La femme et la communication dans le couple 1"
13H35 - présentation de Hitiaa O Te Ra : "La femme et la communication dans le couple 2"
14H00 - présentation de Punaauia et Paea : "La femme, les valeurs et les traditions"
14H30 - présentation de FAA'A, Papeete et Pirae : "La femme contre l'oisiveté"
15H00 - synthèse de Madame Madeleine BREMOND, Ministre de la solidarité, du logement et de la famille

Journée internationale de la femme

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE LA COMMUNAUTÉ DU PACIFIQUE

La Journée internationale de la femme est aussi l’affaire des hommes
Nouméa (Nouvelle-Calédonie), le 6 mars 2007

la journée internationale de la femme sera célébrée le 8 mars prochain, dans la région océanienne comme dans le monde entier. Elle sera l’occasion de reconnaître la contribution des femmes à l’édification de sociétés justes et prospères – et de mettre en évidence à quel point ces sociétés peuvent bénéficier de leur participation dès lors qu’elles ont leur mot à dire.

« Certaines études révèlent que les femmes qui ont la possibilité de participer activement aux prises de décisions au sein du foyer ont des enfants mieux éduqués et en meilleure santé, ce qui a une incidence positive considérable sur les sociétés océaniennes », déclare Linda Petersen, Directrice du Département Développement humain à la CPS.

« La Journée internationale de la femme permet aussi d’évaluer le chemin parcouru vers une société dans laquelle les hommes et femmes ont les mêmes droits et les mêmes chances », ajoute Linda Petersen.

Les Océaniennes peuvent dire que des progrès sont accomplis sur la voie de la parité hommes-femmes, mais qu’ils restent trop lents. Seule une participation active des hommes permettra de les accélérer.

« Le partenariat reste le facteur clé de toute évolution rapide vers l’égalité des sexes. En d’autres termes, les pères, les époux, les frères, les fils – tous les hommes dans la vie d’une femme – doivent agir pour que soit respecté le droit des femmes d’être entendues, en particulier lorsqu’elles sont concernées au premier chef, et d’être protégées de la violence », déclare-t-elle. « La Journée internationale de la femme sera placée cette année sous le thème “mettre fin à l’impunité des auteurs d’actes de violence à l’égard des femmes et des filles” »

« La parité hommes-femmes n’a, pour nous les hommes, rien d’une menace mais permettrait au contraire de faire sauter un verrou et de libérer un potentiel qui a toujours existé, mais dont nos États et Territoires insulaires océaniens n’ont jamais su tirer parti », indique Jimmie Rodgers, médecin et Directeur général du Secrétariat général de la Communauté du Pacifique.

« Si nous ne parvenons pas à la parité hommes femmes à tous les échelons du développement social, économique et politique, nous n’utilisons qu’environ 50 % de notre capacité intellectuelle – c’est-à-dire 50 % de notre potentiel total disponible. »

« Le défi majeur pour nos États et Territoires consiste à déterminer comment ils peuvent exploiter les 50 % restants. À mes yeux, les hommes, qu’ils vivent dans un petit village reculé de Papouasie-Nouvelle-Guinée ou une grande ville des Îles Fidji, qu’ils soient pêcheurs ou politiciens, ont tous un rôle à jouer pour que les femmes qui les entourent – au foyer, à l’école et au travail – soient prises en considération et aient leur mot à dire. »

Jimmie Rodgers affirme que promouvoir l’égalité hommes-femmes revient à préparer l’avenir de nos enfants, un motif de fierté selon le Directeur général. « L’objectif consiste à influer sur les mentalités pour que hommes et femmes, garçons et filles, œuvrent, sur un pied d’égalité, à l’édification de la nation. »

L’accélération de ce processus sera au cœur des débats d’une réunion importante qui se tiendra au siège de la CPS à Nouméa, du 27 mai au 1er juin 2007 : la dixième Conférence régionale sur la condition féminine et la troisième Conférence régionale des Ministres de la condition féminine.

Informations contextuelles à l’attention des médias

· La Journée internationale de la femme

La Journée internationale de la femme a une longue histoire – et est déclarée jour férié dans 14 pays, notamment au Viet-Nam, en Bulgarie et en Mongolie où, à cette occasion, les hommes honorent les femmes en leur offrant de petits présents.

La Journée internationale de la femme est née en 1909 des mouvements sociaux qui ont marqué l’Amérique du Nord et l’Europe au début du XXe siècle. À cette époque, des femmes sont descendues en nombre dans la rue pour protester contre la discrimination et les mauvaises conditions de travail, et ont revendiqué à la fois le droit de vote et le droit d’exercer des fonctions officielles.

L’Organisation des Nations Unies a commencé à célébrer la Journée internationale de la femme en 1975. L’Assemblée générale a invoqué deux raisons à cela :
a) la paix et le progrès social, le respect des droits de la personne et des libertés fondamentales passent obligatoirement par la participation active des femmes, l’égalité des sexes et la promotion de la condition féminine ;
et b) la contribution des femmes au renforcement de la paix et de la sécurité dans le monde est reconnue.
Pour de plus amples informations, rendez-vous à
http://www.internationalwomensday.com/organisations1.asp